Il y a vingt ans, la France disposait d’Alcatel, numéro 1 mondial des telecom.
Aujourd’hui il n’en reste presque plus rien, hormis quelques filiales détenues par des groupes étrangers comme Nokia.
La France (ou plus précisément ses « élites ») a gâché un potentiel majeur et nous a fait prendre un retard qu’il sera difficile de rattraper.
Loin des mythes de la dématérialisation, des startup éthérées ou du marché libre s’épanouissant sans contrainte, nous vous proposons une vison planifiée de ce que nous voyons comme une industrie : le numérique commence par des mines.
Il faudra du temps, de l’argent et de la pugnacité. Le rapport de force est loin d’être en notre faveur, pourtant il est encore temps d’agir.